Pour plus de détails, vous pouvez télécharger ICI la contribution de la FNCCR qui sera annexée à la motion du Comité national de l’eau.
Parmi les principales demandes :
Les PTGE doivent viser à résorber les déséquilibres actuels ou prévisibles entre ressources et prélèvements, et à cet effet, explorer toutes les solutions, notamment les économies d’eau, l’adaptation de l’agriculture aux conditions pédoclimatiques du territoire, la REUT, la mobilisation des stockages d’eau existants ou à réaliser, etc…
La prise en compte de l’état qualitatif des ressources en eau est indispensable. Il est nécessaire d’intégrer des mesures visant à préserver et si nécessaire reconquérir la qualité des masses d’eau, notamment via l’amélioration des pratiques agricoles. À cet égard, l’agroécologie et les SFN apparaissent des voies à privilégier pour concilier ces enjeux quantitatifs et qualitatifs.
La gouvernance des PTGE doit être locale, s’appuyer sur la CLE avec une implication forte du service de police de l’eau.
Le coût des PTGE ne doit pas être en majeure partie supporté par la facture d’eau. Il est nécessaire que les parties prenantes contribuent au financement de l’animation, des études et travaux éventuels.