Années 2020, 2021, 2022, 2023
RODP 2024 – Électricité et gaz, chantiers provisoires
Chaque année le département énergie réactualise les notes concernant les redevances d'occupation du domaine public.
Groupe de travail achats d’énergie – Année 2024
Retrouvez toutes les réunions de l'année 2024 de ce groupe de travail
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GEPU et GEMAPI :
Cours d’eau et gestion des eaux pluviales
Les cours d’eau sont quelques-uns des exutoires possibles des eaux pluviales collectées et transportées dans le système de gestion des eaux pluviales. Ils ne constituent pas des ouvrages et, à cet égard, ne relèvent ni du patrimoine de la compétence GEPU, ni d’aucune autre compétence. S’agissant de la GEMAPI, cette compétence donne au groupement de collectivités territoriales qui l’exerce la faculté, et non l’obligation, de réaliser des études et travaux sur les cours d’eau. Les cours d'eau, y compris lorsqu'ils ont été aménagés au point d'être caractérisés en tant qu'ouvrage public, ne relèvent pas du patrimoine de la compétence GEMAPI.
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Gestion des eaux pluviales
Système de GEPU : intégration des canaux et des réseaux intérieurs ?
La CAA de Toulouse a rendu deux arrêts par lesquels un éclairage est apporté sur la délimitation du patrimoine affecté à la compétence « gestion des eaux pluviales urbaines » (GEPU). À leur lecture, il apparaît que l’affectation d’un ouvrage hydraulique au service de GEPU dépend, outre de sa fonction (collecte, stockage, infiltration, transport des eaux pluviales), de son utilité (l’ouvrage répond-il aux seuls besoins d’une parcelle, d’un immeuble ou d’un ensemble immobilier ? Ou les excède-t-il ?).
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Constat des associations d’élus
L’État abandonne un « tiens » pour deux « tu l’auras »
En novembre dernier, le Ministre délégué à la transition numérique, Jean-Noël Barrot, présentait les grandes lignes d’un accord en discussion entre Orange et le gouvernement sur la couverture FttH. L’envoi de ce projet à l’Arcep pour avis le 12 janvier dernier aura été l’un des tous derniers actes du ministre délégué à la transition numérique par suite du remaniement. Et c’est à la nouvelle Secrétaire d’État en charge du numérique, Marina Ferrari, qu’est revenue la charge de présenter un accord dont elle n’aura rien pu négocier.
Et le moins que l’on puisse dire est que les interrogations sont nombreuses, entre les annonces de novembre et le texte envoyé à l’Arcep par Jean-Noël Barrot. Une partie des engagements n’en sont quasiment pas puisque non soumis au L33-13. Les autres comportent tant de limitations que l’on se demande comment ils pourront être sanctionnés. Tout ça pour ça ?
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